David Herbert Lawrence aux éditions Sillage :
1885 : Le 11 septembre, naissance de David Herbert Lawrence à Eastwood, dans le Nottinghamshire. Son père, Arthur John Lawrence, est un mineur porté sur la boisson. Sa mère, Lydia Beardsall, issue d’une famille bourgeoise, est très marquée par le puritanisme. Les disputes sont fréquentes. David Herbert est le quatrième de cinq enfants. La famille vit dans un logement insalubre et toute sa vie Lawrence souffrira de maladies respiratoires.
1897 : Brillant élève, le jeune garçon obtient une bourse lui permettant de suivre l’enseignement d’une école primaire supérieure de Nottingham.
1901 : À la fin de ses études, David Herbert Lawrence trouve un poste chez un fabricant d’appareils orthopédiques de Nottingham. Timide et pudibond, le jeune homme est l’objet des railleries de ses collègues. Souffrant d’une pneumonie, David Herbert part habiter chez les Chambers, des amis de sa mère. Il entame une relation platonique avec leur fille, Jessie.
1902 : Rétabli, Lawrence trouve une place de répétiteur à Eastwood. Nombreuses lectures à la bibliothèque en compagnie de Jessie.
1906 : David Herbert obtient une bourse d’études à l’université de Nottingham, où il suit des cours réservés aux instituteurs. Il entame ses premiers travaux d’écriture.
1908 : Titularisé, il devient instituteur à Croydon, au sud de Londres.
1909 : Lawrence publie ses premiers poèmes dans The English Review, grâce à Ford Madox Ford, qui lui présente William Butler Yeats, Ezra Pound, H. G. Wells.
1910 : Sa mère meurt d’un cancer. Un deuil très difficile commence pour Lawrence, qui lui était très attaché.
1911 : Délaissant Jessie Chambers, Lawrence se fiance à Louisa Burrow et rompt les fiançailles dans l’année. Par l’entremise de Ford Madox Ford, il publie son premier roman, The White Peacock (Le Paon blanc), qui reçoit un accueil critique favorable. L’hiver venu, l’auteur est à nouveau atteint d’une pneumonie.
1912 : À l’issue de sa convalescence, Lawrence démissionne de son poste d’instituteur. Lors d’un dîner chez un ancien professeur, Ernest Weekley, il s’éprend de la femme de celui-ci, Frieda. D’origine allemande, elle est la fille du baron de Richthofen. Il quitte l’Angleterre avec elle quelques semaines plus tard. Ils visitent l’Italie, l’Allemagne – à Metz, Lawrence est accusé d’espionnage et brièvement détenu. De six ans son aînée, Frieda a été la maîtresse d’Otto Gross, disciple de Freud ; elle fait découvrir à Lawrence les théories psychanalytiques.
1913 : Troisième roman, Sons and Lovers (Fils et amants), directement inspiré de sa jeunesse à Eastwood. De retour en Angleterre, Lawrence se lie avec de nombreuses personnalités du monde littéraire, dont Katherine Mansfield et John Middleton Murry.
1914 : Frieda obtient le divorce fin mai, et se remarie avec Lawrence le 13 juillet. À la déclaration de guerre, l’auteur est réformé, mais le couple se voit interdire de quitter l’Angleterre, la nationalité de l’épouse le rendant suspect aux yeux des autorités. Profondément anti-militariste, Lawrence vivra la guerre comme une terrible épreuve. Parution de son premier recueil de nouvelles, The Prussian Officer and Other Stories, et de sa première pièce de théâtre, The Widowing of Mrs Holroyd.
1915 : Parution de son roman The Rainbow (L’Arc-en ciel) qui lui vaut de nombreuses accusations d’obscénité et finit par être interdit. Le couple s’installe en Cornouailles. Pendant un temps, Lawrence nourrit le rêve d’aller fonder une communauté en Amérique, invitant notamment Bertrand Russell à se joindre à l’entreprise, mais le projet n’aura pas de suite.
1917 : En octobre, Lawrence est de nouveau accusé d’espionnage, cette fois-ci pour le compte de l’Allemagne, et doit quitter les Cornouailles.
1919 : Déçu par l’Angleterre, l’auteur quitte son pays natal. Il part pour Florence, où Frieda vient le rejoindre. Le couple passera une grande partie des deux années qui suivent à Capri, en Sardaigne, et surtout en Sicile, à Taormina.
1920 : Women in Love (Femmes amoureuses), suite de The Rainbow et de The Lost Girl (La Fille perdue), obtient le James Tait Black Memorial Prize.
1922 : En février, répondant à l’invitation de Mabel Dodge, riche américaine qui a pris connaissance des œuvres de Lawrence et souhaite le voir écrire sur le Nouveau-Mexique, le couple s’embarque pour les États-Unis, en passant par le Pacifique. Ils font escale à Ceylan, en Australie – d’où Lawrence tirera la matière de ses romans Kangaroo (Kangourou, 1923) et The Boy in the Bush (Jack dans la brousse, 1924) – ainsi qu’en Nouvelle-Zélande et à Tahiti. En septembre, ils débarquent sur le continent américain, où ils demeureront jusqu’en 1925.
1923 : En mai, le couple quitte la demeure de Mabel Dodge et part s’installer au Mexique, près de Guadalajara, où l’auteur entame la rédaction de The Plumed Serpent (Le Serpent à plumes) et s’intéresse à la civilisation indienne. À l’automne, Lawrence et Frieda ont regagné l’Europe et visitent Paris et Baden-Baden.
1924 : Les Lawrence repartent pour New York début mars en compagnie d’une jeune anglaise, Dorothy Brett.
1925 : St Mawr (L’Étalon). Lawrence, apprenant qu’il est condamné par la tuberculose, regagne l’Europe à l’automne. Le couple mène dès lors une vie errante, en Angleterre, Allemagne, France, Espagne, Suisse et surtout Italie.
1926 : The Plumed Serpent (Le Serpent à plumes). Dernier séjour en Angleterre. À Florence, les Lawrence se lient d’amitié avec Aldous Huxley et son épouse.
1927 : Malgré son état de santé, Lawrence entame la rédaction de Lady Chatterley’s Lover (L’Amant de Lady Chatterley), qu’il publiera l’année suivante à Florence. Le livre fait scandale et est saisi par les autorités britanniques et américaines – il faudra attendre 1960 pour que paraisse dans ces pays une version non expurgée du texte.
1929 : Parution – et confiscation – de son recueil de poèmes Pansies (Pensées). Une exposition de ses peintures provoque un scandale à Londres, et ses tableaux sont saisis par la police.
1930 : A Propos of Lady Chatterley’s Lover (Défense de Lady Chatterley). Lawrence s’éteint le 2 mars, à Vence, où il séjournait en compagnie de son épouse et des Huxley.
Repères bibliographiques
Une première version de The Fox fut écrite entre novembre et décembre 1918. Elle fut remaniée et corrigée en 1919 et 1920, avant de paraître une première fois dans le numéro 3 du Hutchinson’s Story Magazine, en date du 8 octobre 1920. L’éditeur d’alors avait exigé que le texte soit raccourci, ce qu’accepta Lawrence, sa situation financière étant alors difficile. La seconde version, plus longue et avec un dénouement modifié, fut écrite en novembre et décembre 1921, et publiée en 1922, en quatre livraisons (mai, juin, juillet et août) dans le Dial.
Cette seconde version fut légèrement remaniée en février 1923, amenant le texte à son état définitif. Elle parut pour la première fois en volume à Londres en mars 1923, avec les nouvelles Ladybird (La Coccinelle) et The Captain’s Doll (La Poupée du capitaine), chez l’éditeur Secker.
Trois traductions de ce texte avaient déjà paru :
Le Renard, trad. par L. A. Delieutraz, Paris, Stock, Delamain et Boutelleau, 1928.
Le Renard, trad. par Léo Dilé, Paris, Stock, 1983.
Le Renard, in Nouvelles complètes, trad. par Pierre Nordon, Paris, Garnier, 1986-1987.
Œuvres en anglais
L’éditeur Heinemann lança en 1954, à Londres, la Phoenix Edition des œuvres de D. H. Lawrence. Cette collection rassemble notamment la quasi totalité de ses romans et récits de voyages, quelques essais, ses nouvelles complètes (Short Stories, 3 vol. 1968-1970), son théâtre complet (The Complete Plays of D. H. Lawrence, 1965), ses poèmes complets (The Complete Poems of D. H. Lawrence, 2 vol., 1964), des œuvres posthumes (Phoenix, 1967, et Phoenix II, 1968), ainsi qu’un choix de lettres et d’articles.
Il fallut attendre la fin des années 1970 pour que soit lancée une édition des œuvres complètes de l’auteur. Il s’agit de la Cambridge Edition of the Works of D. H. Lawrence, éditée à Cambridge par la Cambridge University Press, toujours en cours, et que vient compléter la Cambridge Edition of the Letters of D. H. Lawrence, désormais complète (1979-2000, 8 vol.).
Traductions françaises
Romans
L’intrégralité des romans de D. H. Lawrence est disponible en traduction française.
The White Peacock : trad. par Jeanne Fournier-Pargoire sous le titre Le Paon blanc, Paris, Calmann-Lévy, 1933, 2 vol.
The Trespasser : trad. par Jacqueline Gouirand sous le titre Le Profanateur, Paris, Julliard, 1988 ; trad. par Hervé-Southwell sous le titre La Mort de Siegmund, Paris, Gallimard, 1934.
Sons and Lovers : trad. par Jeanne Fournier-Pargoire sous le titre Amants et Fils, Paris, Librairie de la Revue française, 1931 ; trad. par Pierre Nordon sous le titre Fils et amants, Paris, Librairie générale française, 1988.
The Rainbow : trad. par Albine Loisy sous le titre L’Arc-en-ciel, Paris, Gallimard, 1939 ; trad. par Jacqueline Gouirand-Rousselon sous le titre L’Arc-en-ciel, Paris, Autrement, 2002.
Women in love : trad. par Maurice Rancès et Georges Limbour sous le titre Femmes amoureuses, Paris, Gallimard, 1949 (rééd. sous le titre Love, Paris, Gallimard, 1974) ; trad. par Pierre Vitoux sous le titre Amantes, Paris, Autrement, 2000.
The Lost Girl : trad. par Hélène et Roland Alix sous le titre La Fille perdue, Paris, Éditions du siècle, 1933 ; trad. par Françoise du Sorbier sous le titre La Fille perdue, Paris, Fayard, 2007.
Aaron’s Rod : trad. par Frédéric Roger-Cornaz sous le titre La Verge d’Aaron, Paris, Gallimard, 1935.
Kangaroo : trad. par Maurice Rancès sous le titre Kangourou, Paris, Gallimard, 1933.
The Boy in the Bush : trad. par Lilian Brach sous le titre Jack dans la brousse, Paris, Gallimard, 1938.
The Plumed Serpent : trad. par Denise Clairouin sous le titre Le Serpent à plumes, Paris, Stock, 1931 ; trad. par Gérard Hocmard sous le titre Le Serpent à plumes, Monaco, Éditions du Rocher, 2009.
The First Lady Chatterley (première version de Lady Chatterley’s Lover) : trad. par Annie Brierre sous le titre Lady Chatterley, Paris, Deux-Rives, 1946 ; trad. par Pierre Vitoux sous le titre Constance Chatterley, Paris, Autrement, 2005.
John Thomas and Lady Jane (deuxième version de Lady Chatterley’s Lover) : trad. par Jean Malignon sous le titre Lady Chatterley et l’homme des bois, Paris, Gallimard, 1977.
Lady Chatterley’s Lover (troisième version du roman et première à être publiée) : trad. par F. Roger-Cornaz sous le titre L’Amant de Lady Chatterley, Paris, Gallimard, 1932 ; trad. par Pierrette Fleutiaux et Laure Vernière sous le titre L’Amant de Lady Chatterley, Paris, Presses pocket, 1981 ; trad. par Pierre Nordon sous le titre L’Amant de Lady Chatterley, Paris, Librairie générale française, 1991.
Mr Noon : trad. par Bernard Géniès sous le titre Mr Noon, Paris, Calmann-Lévy, 1985.
Nouvelles
Les nouvelles de D. H. Lawrence sont disponibles en traduction dans de nombreux recueils composés par les éditeurs français. Il en existe une édition de référence : Nouvelles complètes, trad. par Pierre Nordon, Paris, Garnier, 1986-1987. Cette édition reprend également quatre des sept short novels de Lawrence : The Captain’s Doll (La Poupée du capitaine), The Ladybird (La Coccinelle), The Princess (La Princesse) et The Fox (Le Renard). Les trois autres ont fait l’objet d’éditions à part :
Saint Mawr : trad. par Jean Cabalé sous le titre La Femme et la Bête, Paris, Éditions du Siècle, 1932 ; trad. par Marc Amfreville et Anne Wicke sous le titre Femmes en exil, Paris, Minerve, 1988 (repris sous le titre L’Étalon, Paris, Phébus, 2005) ; trad. par Jean-Yves Lacroix sous le titre L’Étalon, Paris, Intertextes, 1990.
The Escaped Cock (également publié sous le titre The Man Who Died) : trad. par Jacqueline Dalsace et Pierre Drieu La Rochelle sous le titre L’Homme qui était mort, Paris, Gallimard, 1933 ; trad. par Hélène Starozum sous le titre L’Homme qui connut la mort, Paris, Éditions Alternatives, 2001.
The Virgin and the Gipsy : trad. par E. Frédéric-Moreau sous le titre La Vierge et le bohémien, Paris, Les Petits-fils de Plon et Nourrit, 1934 (traduction rééditée sous le titre La Vierge et le gitan, Paris, Oswald, 1980).
Récits de voyage
Twilight in Italy : trad. par André Belamich sous le titre Crépuscule sur l’Italie, Paris, Gallimard, 1954.
Sea and Sardinia : trad. par André Belamich sous le titre Sardaigne et Méditerranée, Paris, Charlot, 1946.
Mornings in Mexico : trad. par Thérèse Aubray sous le titre Matinées mexicaines, Paris, Stock, 1935.
Etruscan Places : trad. par Thérèse Aubray sous le titre Promenades étrusques, Paris, Gallimard, 1949.
Essais
Psychoanalysis and the unconscious : trad. par Élise Argaud sous le titre Psychanalyse et inconscient, Paris, Desjonquères, 2005.
Fantasia of the unconscious : trad. par Charles Mauron sous le titre Fantaisie de l’Inconscient, Paris, Stock, Delamain et Boutelleau, 1932.
Studies in classic American litterature : trad. par Thérèse Aubray sous le titre Études sur la littérature classique américaine, Paris, Éd. Du Seuil, 1945.
Reflections on the death of a porcupine and other essays : trad. par Thérèse Aubray sous le titre Réflexions sur la mort d’un porc-épic, Paris, Confluences, 1945.
Pornography and obscenity : trad. par Jérôme Vérain sous le titre Pornographie et obscénité, Paris, Mille et une nuits, 2001.
Apocalypse : trad. par Thérèse Aubray sous le titre Apocalypse, Paris, Confluences, 1946 ; trad. par Fanny Deleuze sous le titre Apocalypse, Paris, Balland, 1978.
A Propos of Lady Chatterley : trad. par J. Benoist-Méchin sous le titre Défense de Lady Chatterley, Paris, Gallimard, 1932.
Recueils d’articles composés à partir de Phoenix : the posthumous papers of D. H. Lawrence et Phoenix II : uncollected, unpublished and other prose works by D. H. Lawrence :
L’Amour, le sexe, les hommes et les femmes, suivi de Nature et écrits poétiques, trad. par Marie-Claude Peugeot, Monaco, Éd. du Rocher, 2003.
De la rébellion à la réaction, trad. par Béatrice Dunner, Monaco, Éd. du Rocher, 2004.
Éros et les chiens, trad. par Thérèse Lauriol, Paris, Union générale d’éditions, 1973.
Corps social, trad. par Thérèse Lauriol, Paris, Christian Bourgois, 1974.
Homme d’abord, trad. par Thérèse Aubray, Paris, Union générale d’éditions, 1968.
Poèmes
Poèmes, trad. par Sylvain Floc’h, Paris, L’Âge d’homme, 2007.
Poèmes, trad. par Jean-Jacques Mayoux, Paris, Aubier, 1976.
Correspondance
Lettres choisies de D. H. Lawrence, trad. par Thérèse Aubray, Paris, Plon, 1934, 2 vol.
Lettres choisies, trad. par André Topia, Paris, Gallimard, 2000.
Les éditions Allia ont publié à Paris, en 1993, un volume intitulé La beauté malade. Il s’agit du catalogue de l’exposition de tableaux réalisée par Lawrence à Londres en 1929, précédé d’un essai de l’auteur rédigé à cette occasion et traduit par Claire Malroux.
Études critiques
Brett Dorothy, Lawrence et Brett, Paris, Stock, Delamain et Boutelleau, 1935.
Burgess Anthony, D. H. Lawrence ou le Feu au cœur, Paris, Grasset, 1990.
Carswell Catherine, The Savage Pilgrimage, 1932, rééd. Cambridge, Cambridge University Press, 1981.
Chambers Jessie, D. H. Lawrence : A Personal Record by E. T., Londres, Cape, 1935.
Cluny Claude-Michel, D. H. Lawrence ou la poésie primordiale, Tournai, La Renaissance du livre, 2000.
Cuny Noëlle, D. H. Lawrence, le corps en devenir, Paris, Presses de la Sorbonne Nouvelle, 2008.
Delavenay Émile, D. H. Lawrence : l’homme et la genèse de son œuvre. Les années de formation (1885-1919), Paris, Klincksieck, 1969, 2 vol.
Draper Ronald P., D. H. Lawrence, New York, Twayne, 1964.
Draper Ronald P. (éd.), D. H. Lawrence : The Critical Heritage, Londres, Routledge, 1970.
Ellis David, D. H. Lawrence : Dying Game, Cambridge, Cambridge University Press, 1998.
Fernihough Anne (éd.), The Cambridge Companion to D. H. Lawrence, Cambridge, Cambridge University Press, 2001.
Gillès Daniel, D. H. Lawrence ou le puritain scandaleux, Paris, Julliard, 1964.
Gouirand-Rousselon Jacqueline, Frieda von Richthofen, muse de D. H. Lawrence, Paris, Autrement, 1998.
Ingram Allan, The Language of D. H. Lawrence, Londres, Macmillan, 1990.
Katz-Roy Ginette, Librach Myriam (éd.), D. H. Lawrence, Paris, L’Herne, 1988.
Kinkead-Weekes Mark, D. H. Lawrence, Triumph to Exile : 1912-1922, Cambridge, Cambridge University Press, 1996.
Lawrence Frieda, Lawrence et moi, Paris, Gallimard, 1936.
Lee-Jahnke Hanna, D. H. Lawrence et la Psychanalyse, Berne, Peter Lang, 1983.
Luhan Mabel Dodge, Ma vie avec D. H. Lawrence au Nouveau-Mexique, Paris, Grasset, 1933.
Miller Henry, Le Monde de D. H. Lawrence : une appréciation passionnée, Paris, Buchet-Chastel, 1986.
Moore Harry T., The Priest of Love : A Life of D. H. Lawrence, Londres, Penguin Books, 1970.
Monneyron Frédéric, Bisexualité et littérature. Autour de D. H. Lawrence et Virginia Woolf, L’Harmattan, 1998.
Murry John Middleton, Son of Woman : The Story of D. H. Lawrence, Londres, Cape, 1931.
Nin Anaïs, D. H. Lawrence : une étude non professionnelle, Paris, Payot, 2003.
Négriolli Claude, La Symbolique de D. H. Lawrence, Paris, PUF, 1972.
Pichardie Jean-Paul, D. H. Lawrence, la tentation utopique : de « Rananim » au « Serpent à plumes », Mont-Saint-Aignan, Publications de l’Université de Rouen, 1988.
Pinion F. B., A D. H. Lawrence Companion : Life, Thought and Works, Londres, Macmillan, 1978.
Poplawski Paul, The Works of D. H. Lawrence : a Chronological Checklist, Nottingham, D. H. Lawrence Society, 1995.
Poplawski Paul, D. H. Lawrence : A Reference Companion, Westport-Londres, Greenwood Press, 1996.
Poplawski Paul, A D. H. Lawrence Chronology, Londres, Macmillan, 1996.
Roberts W., Poplawski P., A Bibliography of D. H. Lawrence, Cambridge, Cambridge University Press, 2001.
Sagar Keith, The Life of D. H. Lawrence : An Illustrated Biography, Londres, Methuen, 1980.
Sagar Keith, D. H. Lawrence Handbook, Manchester, Manchester University Press, 1982.
Worthen John, D. H. Lawrence, The Early Years : 1885-1912, Cambridge, Cambridge University Press, 1991.
Worthen John, D. H. Lawrence : The Life of an Outsider, Londres, Penguin/Allen Lane, 1995.
Zaratsian Christine, Le Phénix : mode essentiel de l’imaginaire chez D. H. Lawrence, Villeneuve d’Ascq, Presses Universitaires du Septentrion, 2001.
Signalons enfin l’existence de la D. H. Lawrence Review, qui publie trois numéros par an depuis 1968 (D. H. Lawrence Review, Austin, Department of English, University of Texas) ainsi que celle des Études lawrenciennes, dont le premier numéro parut en 1986 (Études lawrenciennes, Nanterre, Université de Paris-X, Centre de recherches anglo-américaines).